Hémiplégies-Réinsertion
La réadaptation fonctionnelle, à tous les âges de la vie.
Votre proche porte un appareillage au pied suite à un accident vasculaire cérébral. Pas facile de lui mettre ses chaussures…
Voici quelques conseils en vidéo pour la mise en place de ce type d’appareils.
Placement d’orthèses et attelles. (membres inférieurs et supérieurs).
Vidéos présentées par les kinés du centre William Lennox.
http://www.cnwl.be/les-services/services-paramedicaux/kinesitherapie-2/publications/modes-demploi/
Certificat en soins neurovasculaires – NOUVEAU
Public cible :
Cette formation s’adresse aux infirmiers P.I.T (Paramédical Intervention Team), aux infirmiers bacheliers, aux ergothérapeutes, aux kinésithérapeutes, aux logopèdes, aux neuropsychologues, aux nutritionnistes (diététiciens) et aux assistants sociaux qui sont intéressés par les soins neurologiques multidisciplinaires dans un service de neurologie, stroke unit ou soins d’urgence.
Descriptif:
Au terme de cette formation de 8.5 jours, vous serez capable de prendre en charge un patient présentant une attaque neurologique.
La prévalence de l’accident vasculaire cérébral (AVC) dans les pays dits « développés » est de 2.400/1.000.000 d’habitants.
https://services.henallux.be/fors/paramedical/formation.php?idf=762&longue=0
Exposé préparée en 2020 par Douceline Kesteloot dans le cadre de la formation francophone en Stroke Unit pour les professionnels de la santé à Henallux à HENALLUX département paramédical.
Rue Louis Loiseau 39, 5000 Namur, organisée par le Neurologue VanderMeeren de Montgodinne et le Neurologue Peeters de St-Luc à Woluwe (Bxl).
https://services.henallux.be/fors/paramedical/formation.php?idf=449&longue=0
Exposé fait par Ivette Jacob dans le cadre de la sensibilisation et du soutien aux familles après cérébralisions à Liège le 27 octobre 2016
Avec l’aimable autorisation de Stéphane DAVID.
« Dès lors, le « suspect » erre de psychiatre en kinésithérapeute, se désocialise, perd son travail, se rend insupportable à un conjoint et des enfants qui ne comprennent rien à l’affaire et souffre doublement :
des troubles mêmes qu’il présente et de cette non-reconnaissance ou de ce soupçon, qui non seulement aggravent sa détresse, mais également l’empêchent d’envisager des stratégies de compensation ou de réadaptation.
Comment faire quand vous n’avez plus les mêmes moyens cognitifs, que personne ne vous croit et que vous pensez que vous êtes devenu fou ? » (Curallucci H, Vion-Dury J, Tcherniack V., 2011
L’étude qui suit nous a été commanditée par l’AWIPH suite à la participation de membres de son Administration à une matinée d’études que nos deux services d’accompagnement réunis dans le projet Azimut-Réseau d’accompagnement pour personnes avec lésions cérébrales- ont organisée en octobre 2012.
L’invitation de l’Awiph de nous pencher sur le parcours de personnes avec lésions cérébrales nous l’avons saisie, peut-être avec inconscience, mais avec enthousiasme.
En tant que responsables de service, nous tenons à saluer l’immense travail mené par Stéphane David d’une part et Leslie Detaille- efficacement relayée un temps par Sophie Haulet. Ce ne sont pas des chercheurs, ce n’étaient pas des spécialistes.
Et pourtant que de professionnalisme, que d’énergie, quel beau travail.
Ils se sont informés, se sont formés à des disciplines exigeantes et pas forcément dans nos cordes de travailleurs sociaux : création de questionnaires, outils d’encodage, de décodage.
Ils ont rencontré et écouté un tas de personnes. La meilleure reconnaissance que nous puissions leur manifester est de prendre le temps de lire avec attention le compte rendu de ces deux années de recherche. De voir leur cheminement depuis leurs lectures, en passant par les créations des outils, puis leurs rencontres avec les personnes concernées, les familles, les professionnels pour en tirer enfin conclusions et recommandations. De constater qu’ils sont devenus des spécialistes détenteurs d’un nouveau savoir.
Enfin tout ceci serait vain si nous.., si vous ne tiriez pas les conséquences de ce travail.
On ne peut plus faire, après cette lecture, comme avant.
Les personnes qui ont été rencontrées ont fait part de manques que nous ne pouvons plus ignorer.
Mettre les recommandations au tiroir serait indécent.
Car il faut toujours se rappeler : nous ne sommes jamais loin de cette fracture, nous ou quelqu’un de notre entourage. Comment souhaiterions-nous alors être traités ?